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Airborne and dermal exposure to polycyclic aromatic hydrocarbons, volatile organic compounds, and particles among firefighters and police investigators.
(Exposition atmosphérique et cutanée aux hydrocarbures aromatiques polycycliques, aux composés organiques volatils et aux particules chez les pompiers et les enquêteurs de police).
Article
Est Publié dans : Annals of Work Exposures and Health, vol.63 n°5, juin 2019, pp.533-545, ill., bibliogr.
Des échantillonnages d'air individuels actifs et passifs et des prélèvements cutanés ont été effectués en Suède sur sept chefs d'équipe de pompiers (FF) lors d'incendies d'entraînement et sur neuf enquêteurs de la police scientifique (PFI) à la suite d'incendies réels. Des prélèvements d'air passifs ont été réalisés sur huit chefs d'équipe FF lors de feux réels. Les échantillons d'air ont montré que l'exposition aux HAP, au benzène, au 1,3-butadiène et aux particules était inférieure aux limites d'exposition professionnelle suédoises (OEL). Le naphtalène était le HAP prédominant. Le benzène et le 1,3-butadiène étaient plus abondants dans les incendies d'urgence, qui ont entraîné des expositions plus élevées que les autres situations étudiées. Les HAP associés à la fois à des gaz et à des particules étaient présents sur la peau. Les poignets semblaient être moins bien protégés que la zone de la clavicule. Les résultats montrent que les FF et les PFI sont exposés à plusieurs composés dangereux pendant leur travail. Les expositions atmosphériques variaient considérablement entre les scénarios de travail. Les expositions observées étaient sensiblement plus élevées que les niveaux de référence en ville mais bien en dessous des OEL suédoises. Les expositions cutanées aux HAP mesurées étaient comparables aux doses précédemment rapportées pour les FF américains mais inférieures aux expositions rapportées pour les ramoneurs suédois.
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