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Did a brief nap break have positive benefits on information processing among nurses working on the first 8-h night shift ?
(Est-ce qu’une courte sieste peut avoir des effets positifs sur le traitement de l’information chez des infirmiers travaillant sur la première période de 8 heures de travail de nuit ?).
Article
Publié dans : Applied Ergonomics, Royaume-Uni, vol. 48, mai 2015, pp. 104-108, ill., bibliogr. (En anglais)
Les travailleurs postés ressentent fréquemment une intense privation de sommeil lors de leur première période de travail de nuit. Cette étude a consisté à analyser l’effet d’un court somme de 30 minutes (entre 2 et 3 heures du matin) sur la capacité d’attention visuelle lors de la période de fatigue maximale (entre 3 et 4 heures du matin) chez des infirmiers travaillant de nuit. En parallèle, les fonctions cognitives d’infirmiers travaillant de jours ont été mesurées (entre 9 et 10 heures du matin). Les résultats montrent que le groupe travaillant de nuit souffre d’un manque de sommeil entraînant une diminution des performances d’attention visuelle en comparaison avec le groupe travaillant de jour. Il n’y a pas de différence significative en termes de performance d’attention visuelle entre ceux ayant effectué ou non un court somme pendant leur nuit de travail. Il semble nécessaire d’augmenter la taille de l’échantillon afin de pouvoir tirer des conclusions concernant les effets positifs d’un somme de 30 minutes sur les fonctions cognitives lors du travail de nuit.
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