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Quand le réalisable n'est plus acceptable. Le traitement de la non-conformité du travail des prestataires par des salariés d’une entreprise de distribution de gaz.
Extrait de : 50e anniversaire de la SELF. Ergonomie et société : quelles attentes, quelles réponses ? 48e Congrès de la Société d’ergonomie de langue française (SELF). Paris, 28-30 août 2013.
Acte congres
Edition : Société d’ergonomie de langue française (SELF, Maison de la Recherche, Université Toulouse Le Mirail, 5 allée Antonio Machado, 31058 Toulouse Cedex 9), 2013, 1 CD-Rom, 8 p., bibliogr.
Les entreprises ont été peu à peu amenées à changer leurs modes d’organisation et l’externalisation est une composante importante de ce mouvement. Les relations établies entre les entreprises prestataires et le donneur d’ordre constituent un objet d’étude qui peut conduire à s’intéresser aux régulations construites à partir de la représentation du travail bien fait. En effet, même si le travail des prestataires n’est pas considéré comme bien fait ou s’il n’est pas dans les règles de conformité des ouvrages, les techniciens souvent réalisent l’intervention. Pourquoi, en dépit des non-conformités, les techniciens arrivent à faire le travail quand-même ? Pourquoi ne les refusent-ils pas ? Où se trouve la limite de l’acceptabilité dans les travaux pas conformes ? A partir de la mise en débat de l’activité de travail, l’objectif de cette communication est de montrer quels sont les critères d’acceptabilité et jusqu’où les techniciens se permettent de s’adapter pour réaliser une intervention.
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