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Determination of occupational exposure to alkanolamines in metal-working fluids.
(Détermination de l'exposition professionnelle aux alcanolamines dans les fluides de coupe).
Article
Publié dans : Annals of Occupational Hygiene, Royaume-Uni, vol. 51, n° 2, mars 2007, pp. 153-160, ill., bibliogr. (En anglais)
L'exposition aux alcanolamines contenus dans les fluides de coupe était étudiée dans les ateliers d'usinage afin de déterminer les alcanolamines dans les prélèvements d'air et de rinçage des mains des opérateurs. Les méthodes pour recueillir les alcanolamines dans l'air et absorbés par la peau des mains étaient développées et testées. Les mesures d'exposition étaient réalisées dans 9 ateliers d'usinage. Après une période de travail de 2 heures, la main dominante des opérateurs était rincée avec 200 ml de 20 % d'isopropanol durant une minute dans un sac plastique. Les prélèvements d'air individuels étaient recueillis au cours de la période de travail de 2 heures à l'aide de filtres en fibre de verre traités à l'acide. Les filtres et les prélèvements de rinçage étaient analysés par chromatographie liquide couplée à la spectrométrie de masse (LC-MS). D'après cette étude, l'exposition aux alcanolamines se fait principalement par la peau. Le monoéthanolamine était le seul alcanolamine avec une absorption par inhalation visible comparée à l'absorption percutanée. L'exposition totale aux fluides de coupe pourrait être diminuée en réduisant l'exposition cutanée. La méthode de rinçage des mains peut être utilisée pour évaluer l'efficacité des gants de protection.
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