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Quand le questionnaire s'impose à l'ergonome.
Extrait de : 31e Congrès de la Société d'ergonomie de langue française (SELF). Intervenir par l'ergonomie. Regards, diagnostics et actions de l'ergonomie contemporaine. Bruxelles (Belgique), 11-13 septembre 1996.
Acte congres
Edition : Société d'ergonomie de langue française (SELF), Section informatique et sciences humaines, Université libre de Bruxelles (SISH-ULB, 2 rue des Canonniers, 1400 Nivelles, Belgique), 1996, vol. 1, 394 p., pp. 82-89, bibliogr.
Pour un certain nombre de demandes sociales dont sont saisis les ergonomes, la question posée concerne un groupe de travailleurs relativement nombreux dont le métier comporte une gamme de tâches diversifiées, réalisées en des lieux multiples et dans des conditions variables. Le recours exclusif à l'observation directe in situ s'avère alors difficile dans des contraintes de délais et à un coût compatible avec l'état du marché et amène à envisager de façon complémentaire une collecte de données plus extensive au moyen de questionnaires. On discute ici de la pertinence des données ainsi obtenues, de leur intérêt et de leur limite dans le cadre d'une démarche ergonomique globale.
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