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Biomonitoring of primary aluminium industry workers : detection of micronuclei and repairable DNA lesions by alkaline SCGE.
(Surveillance biologique des salariés de l'industrie de l'aluminium : détection des micronoyaux et des lésions réparables de l'ADN par SCGE en milieu alcalin).
Article
Publié dans : Mutation Research. Genetic Toxicology and Environmental Mutagenesis, Pays-Bas, vol. 516, n° 1-2, 26 avril 2002, pp. 63-70, ill., bibliogr. (En anglais)
Les salariés de l'industrie de l'aluminium sont généralement exposés aux poussières minérales, à l'oxyde d'aluminium, au fluorure, aux vapeurs de soudage et aux champs électromagnétiques, mais également aux hydrocarbures polycycliques aromatiques (HPA) lors de l'utilisation de cuves à anodes précuites. Les effets génétiques de l'exposition professionnelle à de basses concentrations en hydrocarbures polycycliques aromatiques (HPA) ont été étudiés chez les salariés d'une usine de production d'aluminium, qui utilisent des cuves à anodes précuites. La technique d'électrophorèse sur gel en milieu alcalin sur des cellules isolées (SCGE ou test des comètes) a permis d'analyser et de comparer les lésions d'ADN des lymphocytes périphériques des salariés aux différents postes (fabrication, cuisson, étuvage, électrolyse, maintenance des cuves à anodes). Pour compléter cette analyse génétique, le test des micronoyaux a permis de déterminer les fragmentations et les pertes de chromosomes dans les lymphocytes périphériques.