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Quantification de la variabilité dans l'excrétion urinaire du mercure.
Etude et rapport | R-241
Edition : Institut de recherche en santé et en sécurité du travail du Québec (IRSST, 505 boulevard de Maisonneuve Ouest, Montréal, Québec H3A 3C2, Canada), 2000, 30 p., ill., bibliogr.
La prise de décision à l'égard du retrait préventif de la travailleuse enceinte ou allaitante exposée au mercure inorganique repose principalement sur la mesure du mercure urinaire. La valeur-seuil utilisée actuellement par les médecins canadiens du réseau public comme critère de retrait est de 2,0 nmol de mercure/nmol de créatinine. Selon la littérature, l'excrétion urinaire peut présenter des variabilités individuelles importantes. De plus, certaines sources extra-professionnelles d'exposition peuvent influencer les concentrations urinaires de mercure. Les objectifs de cette étude étaient de quantifier la variabilité intra-individuelle totale (biologique + analytique) associée à la mesure du mercure inorganique urinaire chez un groupe de femmes, et de déterminer le nombre d'échantillons requis pour en arriver à une décision éclairée en ce qui concerne le retrait préventif de la travailleuse enceinte ou allaitante (de un à trois prélèvements d'après les résultats). Cette publication est disponible en version PDF sur le site internet de l'IRSST.
Autres documents dans la collection «Etudes et recherches. Rapport R-241.»
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