0 avis
Elevated salivary cortisol levels as a result of sleep deprivation in a shift worker.
(Niveaux de cortisol salivaire élevés résultant de la privation de sommeil chez un travailleur posté).
Article
Publié dans : Occupational Medicine, Royaume-Uni, vol. 53, n° 2, mars 2003, pp. 143-145, ill., bibliogr. (En anglais)
Cet article concerne une étude de cas rapportée au sein d'un groupe de 63 travailleurs postés pour lesquels l'adaptation a été évaluée par le dosage des taux de cortisol salivaires. La salive des travailleurs a été prélevée par échantillons et les taux de cortisol mesurés à des intervalles de 2 heures aux postes du matin, du soir et de l'après-midi. Pour un des sujets, des valeurs très élevées en cortisol (augmentées d'un facteur 6) ont été observées durant le poste du matin, mais des valeurs normales ont été trouvées pour les postes du soir et de la nuit. Les moyennes individuelles et les pics de cortisol étaient de 48,4 et de 67,8 nmol/l contre des moyennes de groupe et des pics de cortisol de 8,9 et 11 nmol/l. Un questionnaire rétrospectif a montré que le sujet était en bonne santé et il n'y avait pas d'indicateurs de stress de long-terme. Les auteurs ont déduit que ce stress était dû à la privation de sommeil au cours de rotations de postes rapides.