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The mediating and moderating effects of workplace social capital on the associations between adverse work characteristics and psychological distress among Japanese workers.
(Effets médiateurs et modérateurs du capital social en milieu de travail sur les associations entre les caractéristiques négatives du travail et la détresse psychologique chez les travailleurs japonais).
Article
Edition : , Japon, vol. 52, n° 4, juillet 2014, pp. 313-323, ill., bibliogr. (En anglais)
Les auteurs ont étudié comment le capital social arbitrait et modérait les associations entre les caractéristiques négatives du travail et la détresse psychologique des travailleurs japonais. Des données transversales (n = 9 350) ont été recueillies à partir de l'enquête initiale d'une étude de cohorte professionnelle japonaise. Les auteurs se sont focalisés sur le capital social personnel et ont examiné les exigences/autonomie/effort-récompense des emplois, et deux types de justice organisationnelle (procédurale et interactionnelle) comme variables des caractéristiques du travail. La détresse psychologique a été définie par un score égal ou inférieur à 5 sur l'échelle de détresse psychologique de Kessler (échelle K6). Des analyses de régression logistique multivariée ont prédit une variable dichotomique de la détresse psychologique à partir du capital social personnel et des caractéristiques négatives du travail, ajustés pour les co-variables de niveau individuel. Le capital social personnel arbitrait les associations entre les caractéristiques négatives du travail et la détresse psychologique dans presque toutes les spécifications du modèle. En outre, le capital social personnel modérait les associations de la détresse psychologique avec des exigences élevées, un effort important, et une faible justice interactionnelle. En revanche, il ne modérait pas les associations avec un faible niveau d'autonomie, de récompense, ou de justice procédurale. Les auteurs ont conclu que le capital social arbitrait les associations entre les caractéristiques négatives du travail et la détresse psychologique chez les travailleurs japonais tout en modérant sélectivement leurs associations à des niveaux élevés de capital social.