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Assessment of beryllium disease risk in pre-selected BC industries.
(Evaluation du risque de bérylliose dans des industries présélectionnées en Colombie-Britannique).
Brochure | RS2010-OG11
Edition : WorkSafeBC (Research Services, 6951 Westminster Highway, Richmond, BC, V7C 1C6, Canada), 2015, 41 p., ill., bibliogr. (En anglais)
L’exposition au béryllium provoque la bérylliose chronique chez les personnes sensibles. Malgré l'existence de plusieurs industries susceptibles de travailler avec du béryllium, aucun cas de bérylliose n’a été diagnostiqué en Colombie-Britannique. La bérylliose est souvent diagnostiquée à tort comme la sarcoïdose, une autre affection pulmonaire plus commune et qui est indiscernable sur le plan clinique et histopathologique de la bérylliose chronique. L’objectif de cette étude était d’identifier les lieux de travail en Colombie-Britannique ayant un risque d’exposition au béryllium, et de sensibiliser les travailleurs et les patients diagnostiqués pour une sarcoïdose aux dangers du béryllium. Basé sur les résultats d’une étude pilote, cinq industries et métiers ont été ciblés : production et distribution d'énergie ; maintenance dans le secteur du transport aérien ; pâte et papiers ; prothésistes dentaires et soudeurs, machinistes et électriciens. Une évaluation de l’exposition au béryllium a été réalisée à l’aide d’un échantillonnage de surface, d'entretiens avec les salariés et avec la consultation de l'historique des expositions. Un dépistage des travailleurs intéressés pour la sensibilisation au béryllium a été proposé en utilisant le test de prolifération des lymphocytes au béryllium. En plus des cinq populations cibles, les patients atteints de sarcoïdose des deux plus grands centres de référence de sarcoïdose en Colombie-Britannique avec une histoire professionnelle liée au béryllium ont également été recrutés. Les résultats ont suggéré que l’exposition était probable chez les travailleurs d’entretien d’aéronefs, les prothésistes dentaires et les travailleurs du secteur du recyclage de déchets électroniques. Cependant, la plupart des entreprises contactées ont refusé de participer à l’étude, ce qui rend l’interprétation des résultats difficile
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