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The effects of a self-selected nap opportunity on the psychophysiological, performance and subjective measures during a simulated industrial night shift regimen.
(Effets de la possibilité de choisir le moment de sa sieste sur la psychophysiologie, la performance, et les mesures subjectives au cours d'un travail posté de nuit dans l'industrie simulé).
Article
Publié dans : Ergonomics, Royaume-Uni, vol. 56, n° 2, 2013, pp. 220-234, ill., bibliogr. (En anglais)
Cette étude rapporte les effets d'un repos de 1 h pendant un travail posté de nuit, selon que le moment en est imposé ou librement choisi. 24 participants ont pris part à deux simulations de travail posté (de 22 h à 6 h) de 3 nuits successives : durant la première, la pause a été planifiée à 3 moments durant les 8 h du temps de travail ; pendant la deuxième, les participants ont eu pour consigne d'organiser eux-mêmes leur temps de repos et de l'avoir terminé au plus tard à 4 h. Les résultats montrent que la latitude dans l'organisation du temps de travail conduit à une plus grande performance, moins de stress dans les réponses physiologiques et moins de somnolence durant ce cycle de 3 postes, mais a aussi un impact sur le rythme circadien. Ainsi, le sommeil récupérateur de jour n'est pas perturbé. Les auteurs suggèrent que les bénéfices de cette flexibilité devraient contrebalancer les efforts nécessaires à l'ajustement de l'organisation du temps de travail.