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A two-year follow-up study of risk of depression according to work-unit measures of psychological demands and decision latitude.
(Etude de suivi sur deux ans du risque de dépression selon les mesures des contraintes psychologiques et de la latitude décisionnelle au niveau de l’unité de travail).
Article
Publié dans : Scandinavian Journal of Work, Environment and Health, Finlande, vol. 38, n° 6, novembre 2012, pp. 527-536, ill., bibliogr. (En anglais)
Le but de cette étude était d’examiner si des contraintes psychologiques élevées et une latitude décisionnelle faible augmentaient le risque de dépression. En 2007, 4 237 fonctionnaires danois non déprimés, employés dans 378 unités de travail, ont été enrôlés dans l’étude. Les niveaux moyens de contraintes psychologiques et de latitude décisionnelle ont été calculés pour chaque unité afin d’obtenir des mesures d’exposition résistant aux biais rapportés. En 2009, 3 046 (72 %) sujets ont participé au suivi, et ceux qui signalaient des niveaux élevés de symptômes dépressifs, d’épuisement professionnel ou de stress étaient examinés par un psychiatre, aboutissant au diagnostic de 58 cas de dépression d’apparition récente. Les rapports de cotes (OR) de dépression pour différents niveaux moyens de contraintes psychologiques et de latitude décisionnelle ont été estimés par régression logistique prenant en compte les facteurs de risque établis. Les résultats cette étude suggère qu’une faible latitude décisionnelle peut prévoir la survenue d’une dépression, mais avec des intervalles de confiance larges, et globalement aucune association statistiquement significative entre contraintes psychologiques élevées ou faible latitude décisionnelle et dépression n’a été observée.
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