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Surveillance biologique dans l’industrie du chromage électrolytique : application d’un modèle multiniveau (hiérarchisé) et proposition d’une valeur limite biologique spécifique.
Extrait de : 32e Congrès national de santé et médecine au travail. Clermont-Ferrand, 5-8 juin 2012.
Article
Publié dans : Archives des maladies professionnelles et de l'environnement, vol. 73, n° 3, juin 2012, pp. 462-463.
Les revêtements électrolytiques de chrome sont utilisés pour améliorer la résistance à l’usure et à la corrosion des éléments métalliques. L’industrie française du traitement de surface emploie près de 25 000 personnes réparties dans 1 700 établissements. Des maladies à caractère professionnel (pathologies ulcératives de la peau ou de la cloison nasale, rhinites ou asthme) sont associées à l’activité dans ces établissements. L’étude, présentée par cette communication, a pour objectif de proposer une valeur limite biologique spécifique au chrome urinaire permettant ainsi son interprétation dans le contexte du chromage électrolytique.