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Simulation tests to assess occupational exposure to airborne asbestos from asphalt-based roofing products.
(Essais de simulation pour évaluer l’exposition professionnelle à l’amiante en suspension dans l'air provenant de matériaux de couverture contenant de l’asphalte).
Article
Publié dans : Annals of Occupational Hygiene, Royaume-Uni, vol. 51, n° 5, juillet 2007, pp. 451-462, ill., bibliogr. (En anglais)
L’étude avait pour objectif d’évaluer l’exposition à des produits spécifiques pour mesurer le risque potentiel lié à la réparation des toitures. Cinq revêtements de toiture contenant des fibres d’amiante et des ciments plastiques représentatifs ont été soumis à des essais de simulation d’exposition. Le rejet de fibres d’amiante durant l’application et le ponçage a été évalué en premier. Divers supports ont été testés pour les tâches de ponçage à la main et de grattage (ravalement). Des tests supplémentaires ont aussi été réalisés pour évaluer le dégagement d’amiante durant le nettoyage des outils et des vêtements. 84 échantillons individuels d’air ont été recueillis au cours des essais de 30 minutes chacun et analysés pour mesurer la concentration en fibres totale par microscopie à contraste de phase (PCM) et pour quantifier les fibres d’amiante, par microscopie électronique à transmission (TEM). La concentration PCM allait de 0,005 à 0,032 fibres par centimètre cube. Des fibres de chrysotile ont été détectées pour 28 des 84 échantillons. Les concentrations TEM variaient de 0,0021 à 0,05 fibres par centimètre cube. L’exposition cumulée au bout de 8 heures de travail a été estimée de 0,0003 à 0,002 fibres par centimètres cube et était comparable aux taux préalablement trouvés dans cette étude. En conclusion, il est peu probable que les couvreurs soient exposés à des concentrations d’amiante dans l’air supérieures aux directives historiques ou actuelles durant le grattage ou le ponçage de ces produits lors de la réparation des toitures.
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