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Clara cell protein and surfactant protein B in garbage collectors and in wastewater workers exposed to bioaerosols.
(Protéine des cellules de Clara et protéine B associée au surfactant pulmonaire chez des éboueurs et des travailleurs de stations d'épuration exposés aux bio-aérosols).
Article
Publié dans : International Archives of Occupational and Environmental Health, RFA, vol. 78, n° 3, avril 2005, pp. 189-197, ill., bibliogr. (En anglais)
L'hypothèse actuelle des chercheurs est que l'inhalation des bioaérosols provoquerait une "pneumopathie toxique" qui altérerait l'intégrité de l'épithélium respiratoire au niveau bronchioalvéolaire en le rendant plus perméable. 2 marqueurs de cette perméabilité ont été identifiés : la protéine des cellules de Clara (CC16) et la protéine B associée au surfactant pulmonaire (SPB). Le but de cette étude était de déterminer si l'intégrité de l'épithélium respiratoire de travailleurs exposés aux bioaérosols (éboueurs et personnel de stations d'épuration) était touchée. Les concentrations de ces protéines ont été mesurées et les travailleurs ont subi des examens médicaux. Une augmentation de la concentration de CC16 a été observée chez les travailleurs des stations d'épuration. Aucun changement n'a été observé pour la SPB. La prévalence des symptômes respiratoires n'a pas évolué. Ces résultats confirmaient que les bioaérosols provoquaient une "pneumopathie toxique", même à un faible niveau d'exposition.
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