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Excretion of urinary 1-hydroxypyrene in relation to the penetration routes of polycyclic aromatic hydrocarbons.
(Excrétion urinaire du 1-hydroxypyrène en relation avec les voies de pénétration des hydrocarbures aromatiques polycycliques). Extrait de : 18th International Symposium on Polycyclic Aromatic Compounds. Cincinnati (Etats-Unis), 9-13 septembre 2001.
Article
Publié dans : Polycyclic Aromatic Compounds, Royaume-Uni, vol. 22, n° 3-4, juillet-septembre 2002, pp. 579-588, ill., bibliogr. (En anglais)
Afin de déterminer la contribution respective des expositions cutanée et respiratoire sur l'excrétion d'hydroxypyrène (PyOH) urinaire, plusieurs expériences ont été menées lors d'opérations de brasquage dans l'industrie de l'aluminium. Le protocole était le suivant : pas d'exposition aux hydrocarbures polycycliques aromatiques (HAP) les lundi, mercredi et vendredi ; exposition les mardi et jeudi, sans ou avec différents types de protection. Pour les opérateurs avec protection cutanée, une concentration importante de PyOH est observée peu après la fin de poste, suivie d'une décroissance rapide vers la ligne de base. Pour ceux avec protection respiratoire, le maximum est en forme de plateau qui s'étale plusieurs heures après la fin de poste et décroît lentement. Pour ceux ayant porté des vêtements contaminés, une quantité non négligeable de PyOH est excrétée les jours sans exposition. Le rapport PyOH excrété / pyrène inhalé est de 15,3 % pour des opérateurs avec protection cutanée et de 24,5 % pour des opérateurs sans aucune protection.