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Behaviour of urinary beryllium in general population and in subjects with low-level occupational exposure.
(Etude du béryllium urinaire dans un échantillon de la population générale et chez des sujets exposés à de faibles concentrations de béryllium).
Article
Publié dans : La Medicina del lavoro, Italie, vol. 80, no 5, septembre-octobre 1989, pp. 390-396, ill., bibliogr. (En anglais)
Les maladies classiques liées au béryllium comme la bérylliose étant en diminution, l'attention se porte actuellement plus particulièrement sur les effets immunologiques et cancérogènes du béryllium. Etude du béryllium urinaire (BeU) dans un échantillon de la population générale et dans un groupe de prothésistes dentaires exposés à des concentrations atmosphériques comprises entre 0,04 et 1,7 mug/m3. On constate que les valeurs moyennes de BeU chez les prothésistes (0,34 mug/l) sont plus élevées que dans la population générale (0,24 mug/l). En outre, le sous-groupe de prothésistes exposés à des concentrations atmosphériques plus élevées avait des valeurs plus fortes de BeU. Bien que les relations entre dose externe et dose interne, et entre dose interne et effets précoces, ne soient pas encore bien connues, l'étude suggère l'utilité d'une surveillance biologique pour mettre en évidence l'exposition professionnelle au béryllium, même lorsqu'elle est faible.
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