Brûlures chimiques : place de la diphotérine.


Article

MINARO L. | BEDRY R. | VERDUN-ESQUER C. | BROCHARD P. | ET COLL.

Publié dans : Archives des maladies professionnelles, vol. 61, n° 1, février 2000, pp. 63-64.

Les brûlures chimiques représentent une infime partie de l'ensemble des brûlures, mais une de leurs caractéristiques est qu'on la retrouve principalement dans les entreprises. Le traitement consensuel de l'urgence reste l'eau, du fait du manque d'alternative. La Diphotérine semble très séduisante au vu de son mécanisme d'action et des premiers résultats publiés : elle fera sans doute parler d'elle dans les années à venir, mais le manque d'informations disponibles pour l'instant interdit de la conseiller systématiquement pour toute brûlure chimique.

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