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Additive metal manufacturing emission characterization.
(Caractérisation des émissions d’un procédé de fabrication additive métallique). Communication présentée à : Roomvent and Ventilation 2018. Espoo (Finlande), 2-5 jun 2018.
Acte congres
Edition : INRS, Centre de Lorraine (rue du Morvan, CS 60027, 54519 Vandoeuvre-lès-Nancy Cedex), 2018, 6 p., ill., bibliogr. (En anglais)
L'objectif principal de cette étude est de caractériser les émissions de particules en suspension dans l'air générées par une machine de fabrication d'additifs métalliques. Une méthodologie de mesure complète impliquant des instruments à lecture directe associés à un échantillonnage conventionnel d'aérosols a été déployée autour d'une machine de dépôt direct de métal (DMD). Les concentrations en nombre et en masse ainsi que les profils de distribution en nombre des particules en suspension dans l'air émises pendant 6 cycles de fabrication ont été mesurés simultanément à la source et dans le champ proche (à 1,2 m de la porte). Différents instruments ont été utilisés pour caractériser l'émission de la machine : 2 Nanoscan (TSI, 3910), 2 OPS (TSI, 3330), 3 Discmini (Testo). Par conséquent, une large plage de tailles allant de 10 nm à 10 microm est couverte, et la concentration en nombre de particules en suspension dans l'air peut être mesurée jusqu'à 10 000 000 /cm3. La même pièce a été produite pour les six cycles de 30 minutes : les 3 premiers cycles ont fonctionné avec une buse à faible taux de dépôt et les 3 derniers cycles avec une buse à taux de dépôt élevé. La mesure a été effectuée pendant le processus de fabrication et les phases de fonctionnement transitoires telles que l'ouverture de la porte de la machine et le retrait des pièces par l'opérateur. La ventilation d'extraction fonctionnant sur la machine a été enregistrée et analysée. Le nombre de particules et les profils de distribution de taille obtenus pour les différentes phases d'usinage montrent une faible exposition aux particules en suspension dans l'air dans des conditions normales, avec un taux plus élevé d'émission de particules pendant les phases transitoires. De plus, les résultats relatifs aux différentes buses de taux de dépôt sont discutés.
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