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Ultrafine particle emissions from desktop 3D printers.
(Emissions de particules ultrafines par les imprimantes de bureau 3D).
Article
Publié dans : Atmospheric Environment, Royaume-Uni, vol. 79, novembre 2013, pp. 334-339, ill., bibliogr. (En anglais)
Le développement des imprimantes de bureau 3D à faible coût a rendu ces dispositifs largement accessibles pour le prototypage rapide et la fabrication à petite échelle au bureau comme à la maison. De nombreuses imprimantes de bureau 3D reposent sur l’extrusion thermique et le dépôt de matières plastiques. Ces processus génèrent des aérosols de façon significative dans les environnements industriels, mais on sait peu de choses sur les émissions par ces matériels. Les auteurs présentent les résultats de mesures de concentrations totales de particules ultrafines (PUF < 100 nm) résultant de la mise en oeuvre dans un bureau de 5 imprimantes utilisant deux matériaux d'impression 3D différents, l'ABS (acrylonitrile butadiène styrène) et le PLA (acide polylactique). Les estimations d'émissions de PUF allaient d'environ 2,0 x 1010 particules/min pour une imprimante 3D utilisant le PLA à environ 1,9 x 1011 particules/min pour le même type d'imprimante utilisant l'ABS. Compte tenu des effets nocifs des PUF, ces résultats incitent à la prudence. La plupart de ces imprimantes étant vendues sans système de ventilation ou de filtration, les auteurs suggèrent de les utiliser dans des locaux bien ventilés. D'autres études devraient être menées afin d'évaluer les émissions de particules à partir d'un plus large éventail d'imprimantes de bureau 3D. (Article en accès libre).
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