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Dust in the underground railway tunnels of an Italian town.
(Poussière dans les tunnels du métro d'une ville italienne).
Article
Publié dans : Journal of Occupational and Environmental Hygiene, Etats-Unis, vol. 3, n° 1, janvier 2006, pp. 16-25, ill., bibliogr. (En anglais)
Cet article est extrait d'une étude portant sur les dangers associés à l'exposition aux poussières dans les tunnels et sur les quais du métro à Rome. Cette étude ne se limite pas aux mesures de la concentration en poussière dans l'air mais s'intéresse également à l'apparence morphologique des poussières. Elle présente leurs classes granulométriques, leur fraction inhalable, les poussières combustibles inhalables ainsi que les composés organiques, métalliques, à base de silice et fibreux qu'elles contiennent. L'analyse des poussières a été effectuée au moyen d'un spectromètre de masse, d'un microscope à balayage électronique et d'un diffractomètre à rayons X. Les concentrations en poussière dans les tunnels et sur les quais se révèlent être 3 fois plus importantes (479 µg/m3) que les valeurs mesurées aux entrées du métro. Le fer et la silice sont les principaux composants de ces poussières. Une quantité importante de quartz a également été mesurée. L'utilisation de sable de silice pour les systèmes d'arrêt d'urgence peut causer une dispersion en quartz dans l'air de 5 à 14 %. Des solutions sont proposées afin de réduire cette exposition.
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