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Air samples versus biomarkers for epidemiology.
(Echantillons d'air contre biomarqueurs en épidémiologie).
Article
Publié dans : Occupational and Environmental Medicine, Royaume-Uni, vol. 62, n° 11, novembre 2005, pp. 750-760, ill., bibliogr. (En anglais)
L'hypothèse selon laquelle les biomarqueurs sont de meilleurs substituts que les échantillons d'air dans le contexte d'expositions chimiques en épidémiologie a été avancée. Les biomarqueurs sont classés suivant leur position dans le continuum exposition-maladie, c'est-à-dire molécule-mère, forme active intermédiaire, métabolite stable, adduit macromoléculaire, ou mesure des dégâts cellulaires. Les expositions aériennes comme les différents marqueurs pouvant varier au sein de et entre les personnes d'une même population, des erreurs de mesure sont possibles quand ils sont utilisés comme substituts d'expositions chimiques vraies. Cette étude s'est intéressée à évaluer les ratios de variance (et ses composantes) observés sur 12 077 observations répétées (mesures aériennes et biologiques). Les résultats de l'étude ont montré qu'un biomarqueur typique fournissait un substitut d'exposition moins biaisé que ne l'était une mesure aérienne typique.