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Mucous membrane and lower respiratory building related symptoms in relation to indoor carbon dioxide concentrations in the 100-building BASE dataset.
(Symptômes liés aux bâtiments au niveau des muqueuses et des voies respiratoires basses en relation avec la concentration intérieure de dioxyde de carbone dans l'ensemble de données portant sur 100 bâtiments de l'étude BASE).
Article
Publié dans : Indoor Air, Danemark, vol. 14, supplément 8, 2004, pp. 127-134, ill., bibliogr. (En anglais)
Les polluants de l'air intérieur sont une cause potentielle des symptômes liés aux bâtiments et peuvent être diminués par une augmentation des débits de ventilation. La concentration intérieure en dioxyde de carbone (CO2) est un substitut approximatif des concentrations de polluants générés par les occupants et des débits de ventilation par occupant. En utilisant les données de l'étude BASE (Building Assessment Survey and Evaluation) menée par l'EPA (Environmental Protection Agency) au sein de 100 immeubles de bureaux, les auteurs ont conduit des analyses par régression logistique multivariée pour quantifier la relation entre les concentrations intérieures en CO2 et les symptômes liés aux bâtiments au niveau des muqueuses et des voies respiratoires basses en tenant compte de l'âge, du sexe, du tabagisme, de la présence de moquette sur le lieu de travail, de la charge thermique, de l'humidité relative et d'un marqueur des gaz d'échappement de voiture. Les auteurs ont également testé l'hypothèse selon laquelle certaines pathologies favorisées par l'environnement (allergies et asthme, par exemple) augmenteraient la sensibilité aux symptômes liés aux bâtiments.