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Nasal mucosal histamine reactivity among teachers six years after working in a moisture-damaged school.
(Réactivité de la muqueuse nasale à l'histamine chez des enseignants six ans après avoir travaillé dans une école envahie par les moisissures).
Article
Publié dans : Scandinavian Journal of Work, Environment and Health, Finlande, vol. 31, n° 1, février 2005, pp. 52-58, ill., bibliogr. (En anglais)
Le but de cette étude était de savoir si l'augmentation vérifiée de la réactivité de la muqueuse nasale chez des enseignants, qui avaient travaillé dans une école avec de gros problèmes de moisissures, persistait 6 ans après que des mesures de rénovation aient été prises. La réactivité accrue de la muqueuse nasale, mesurée par la réaction muqueuse à la provocation par l'histamine, avait précédemment été observée un et trois ans après la rénovation. 24 enseignants de l'école cible et 16 enseignants d'une école témoin, qui ont participé à toutes les investigations (1995, 1997, et 2000), ont rempli un questionnaire et ont subi un test de provocation à l'histamine. En plus de l'enregistrement de la tuméfaction de la muqueuse, la réaction microcirculatoire à la provocation a été mesurée par débitmétrie Doppler. En conclusion, le retour à la normale de la réactivité nasale à l'histamine a été observé chez les enseignants 6 ans après la rénovation réussie de l'école. Cependant, les modifications au niveau de la microcirculation indiquaient un effet résiduel sur la muqueuse nasale.
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