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Associations among lead dose biomarkers, uric acid, and renal function in Korean lead workers.
(Associations entre les marqueurs biologiques des doses de plomb, l'acide urique, et la fonction rénale chez des travailleurs coréens exposés au plomb).
Article
Publié dans : Environmental Health Perspectives, Etats-Unis, vol. 113, n° 1, janvier 2005, pp. 36-42, ill., bibliogr. (En anglais)
Au cours de cette étude, les données concernant 803 anciens et actuels travailleurs exposés au plomb ont été analysées afin de déterminer si les marqueurs biologiques du plomb étaient liés à l'acide urique et si les associations précédemment rapportées entre la dose de plomb et les conséquences au niveau des reins étaient modifiées après ajustement de l'acide urique. Les résultats incluaient l'acide urique, l'azote uréique sanguin, le sérum de créatinine, la clairance de la créatinine mesurée et calculée, et la N-acétyl-bêta-D-glucosaminidase urinaire et la protéine transportant le rétinol. Les taux moyens d'acide urique, du plomb tibial et du plomb sanguin étaient de 4,8 ± 1,2 mg/dl, 37,2 ± 40,4 µg/g de densité minérale osseuse, et 32,0 ± 15,0 µg/dl, respectivement. Aucune des mesures de plomb (plomb tibial, sanguin et chélaté par l'acide dimercaptosuccinique) n'était associée à l'acide urique, après ajustement de l'âge, du sexe, de l'indice de masse corporelle, et de la consommation d'alcool. En conclusion, les données suggèraient que les travailleurs plus âgés constituaient une population susceptible d'avoir des taux d'acide urique élevés à cause du plomb. La production d'acide urique pourrait être un mécanisme, mais pas le seul, de néphrotoxicité lié au plomb.